Cette fois-ci, place aux travaux pratiques ! Après une première conférence en février, il s’agissait en effet maintenant d’apprendre à évaluer l’impact d’activités quotidiennes notamment liées aux déplacements et au logement.
Avec comme idée initiale"qu"il est plus facile d’apprendre à compter carbone que d’apprendre à compter dans une monnaie étrangère", les élèves ont pu évaluer quantitativement les rejets réels de CO2 liés à l’utilisation de leur voiture ou ceux liés à leur logement à l’aide de calculs simples.